à propos…

Céline Guillaume publie son tout premier roman : Merde ! J’ai oublié les fleurs.
Un texte fort, inspiré d’une histoire vraie, sur les silences de l’enfance, les blessures familiales, et la reconstruction à l’âge adulte. Ce roman introspectif mêle émotion brute et tendresse pudique, sans jamais céder au pathos.

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Biographie

Céline Guillaume vit dans le Sud-Ouest de la France, sur le Bassin d’Arcachon. Graphiste depuis plus de vingt ans, elle évolue dans un univers créatif où les images, les mots et les émotions se répondent. L’écriture est venue plus tard. Comme un besoin. Un appel intérieur.

Merde ! J’ai oublié les fleurs est son premier roman, à la croisée de l’autofiction, du témoignage pudique et du roman introspectif. Un récit personnel, profondément ancré dans le réel, où elle explore les traces invisibles laissées par l’enfance, la force de l’amitié, le poids des non-dits et le pouvoir libérateur de la parole retrouvée.

Elle y met toute sa sincérité, son humour désabusé, et son regard affûté sur la complexité des liens familiaux. Ce livre est une tentative de transmission inversée : ne pas léguer la douleur, mais apprendre à aimer autrement.

Ce livre, je ne pensais pas l’écrire un jour.
Il est né d’un besoin, pas d’un projet.
D’un vertige aussi : celui de voir la peur
se transmettre si facilement.

Céline Guillaume

L'intention de l'autrice

Écrire ce roman n’était pas un projet littéraire. C’était une nécessité.

J’ai longtemps cru qu’il fallait taire certaines choses pour tenir debout. Qu’on devait effacer, oublier, minimiser. Et puis, un jour, je n’ai plus réussi à garder ça pour moi. Ce n’est pas un livre contre mes parents, ni contre personne. C’est un livre pour survivre.

Je voulais raconter cette Camille, et à travers elle, toutes celles et ceux qui avancent cabossés mais debout. Ceux qu’on n’a pas entendus. Ceux qui ont confondu loyauté et silence.

Ce roman, c’est un fil tendu entre l’enfant qu’on a été et l’adulte qu’on essaie d’être. Un fil qui relie, qui retient, mais qu’on peut aussi tresser autrement.

L'intention de l'autrice

Écrire ce roman n’était pas un projet littéraire. C’était une nécessité.

J’ai longtemps cru qu’il fallait taire certaines choses pour tenir debout. Qu’on devait effacer, oublier, minimiser. Et puis, un jour, je n’ai plus réussi à garder ça pour moi. Ce n’est pas un livre contre mes parents, ni contre personne. C’est un livre pour survivre.

Je voulais raconter cette Camille, et à travers elle, toutes celles et ceux qui avancent cabossés mais debout. Ceux qu’on n’a pas entendus. Ceux qui ont confondu loyauté et silence.

Ce roman, c’est un fil tendu entre l’enfant qu’on a été et l’adulte qu’on essaie d’être. Un fil qui relie, qui retient, mais qu’on peut aussi tresser autrement.